22 junio, 2022

Kenji Mizoguchi - Akasen Chitai (1956)

 
Japonés | Subs: Castellano/Français/English/Português/Italiano (muxed)
85 min | x264 960x720 | 4828 kb/s | 640 kb/s AC3| 23.97 fps
3,27 GB
La calle de la vergüenza
En un burdel de Tokyo llamado “El País de los sueños” varias prostitutas intentan escapar de su situación, en unos momentos difíciles para el local. Además, el Parlamento está debatiendo una ley para condenar la prostitución. A lo largo del film se explica la vida de diferentes prostitutas: de cómo las circunstancias las obligaron a vender su cuerpo, pero también de cómo intentan escapar de esta situación.
Notable film de Mizoguchi que nos muestra el periodo de indecisión moral y legislativa que pasó Japón en la posguerra. El barrio rojo nos muestra los distintos prostíbulos que allí cohabitaban y las distintas personalidades de las prostitutas que ejercían su labor en el citado barrio.
 
Película rica en matices y obra póstuma del gran maestro nipón. Los diferentes entresijos que rodean los sueños de las prostitutas y las distintas direcciones con que acometen las relaciones con sus clientes se siguen con interes. El problema al que se enfrentan cuando la edad avanza y las triquiñuelas de los préstamos y pagos hacen de La calle de la vergüenza un film vibrante.
Street of Shame
Kenji Mizoguchi creates an elegant, poignant, and unsentimental portrait of adversity and human resilience in Street of Shame. Using the recurrent imagery of rectangular compositions, Mizoguchi reflects the estrangement and social isolation of the tragic heroines: Yumeko borrows money from the calculating Yasumi through a slight opening in a privacy screen; Mickey's interview with the proprietor is shown through a wall opening; Yumeko avoids seeing her son and watches through structural beams as Hanae sends him away; the haunting image of Yumeko singing a melancholy ballad by the stairs.
 
In the end, what emerges is a self-perpetuating, tragic cycle of exploitation and personal disappointment - a lonely and painful existence inexorably bound to the physical compromise of the body - a desperate struggle to retain a vestige of purity within the human soul.  
La Rue de la honte
Le «Rêve», un bordel où travaillent cinq femmes. A la radio, on parle d'une possible fermeture des « maisons ». Les patrons sont inquiets et convainquent leurs pensionnaires que cela ne ferait qu'aggraver leur sort. Les prostituées, chacune à leur manière, poursuivent un rêve. Yumeko attend l'heure de la retraite. Elle espère vivre avec son fils, Shuichi, ouvrier d'usine. Yorie est fiancée à un campagnard. Hanae a un enfant en bas âge et se consacre à son avenir. Son mari, chômeur, est tuberculeux. Yasumi est entré au « Rêve » pour rembourser les dettes de son père. Arrive Mikki, une jolie fille de famille. Elle s'impose bientôt comme la vedette du « Rêve ». Sans vergogne, elle chipe les clients de ses collègues, trop heureux, dit l'un d'eux, « d'avoir du poisson frais ». Yorie, qui a rejoint son fiancé, revient très vite, épuisée par la misère et le surcroît de travail. Yumeko rencontre son fils dans une rue aux abords de son usine. Celui-ci lui exprime son dégoût. Il la jette violemment à terre et s'enfuit. Le mari de Hanae tente de se suicider. Le père de Mikki se présente au « Rêve ». Il vient de se remarier (son épouse est morte peu de temps auparavant). Il demande à sa fille de rentrer à la maison : il y va de sa réputation et de la bonne marche de ses affaires. La jeune fille doit également penser à son frère. D'abord consternée par l'annonce du décès de sa mère, puis révoltée par les arguments de son père, elle refuse d'obéir. Tout à coup, elle s'offre à lui, avant de le jeter dehors. Yasumi, qui n'a cessé d'abuser ses clients jusqu'à contraindre l'un d'entre eux au vol, achète le magasin d'un autre, conduit à la faillite. Le patron du bordel la présente comme un modèle. Yumeko devient folle. La fermeture des « maisons » n'est pas votée. En remplacement de Yumeko, Shizuko, une jeune bonne, se prépare pour son premier client…
 
Blu ray rip de endrju
 
La primera versión de este hermoso film fue publicada en Arsenevich en 2008


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