Francés | Subs: Castellano/English* (muxed)
88 min | x264 700x598 | 2222 kb/s | 256 kb/s mp3 | 25 fps
TV rip | 1,37 GB
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Una mujer dócil
Subs en castellano de geraliolucero/Feve
Sin dejar explicación alguna a su marido, una joven se suicida.
Entenderemos sus motivos en varios flashbacks, que cual rememorarán
desde el momento en el que se conocieron hasta ver las escenas en las
que él la intenta someter, disgustándola hasta el punto de hacerle
considerar la posiblidad de asesinarlo. Pero inexplicablemente, a pesar
de la asfixia a la que es sometida, no se ve capacitada para cometer tal
acto. Basada en un cuento de Dostoievski.
TV rip de origen desconocido
Subs en castellano de geraliolucero/Feve
A Gentle Woman
Bresson's brilliant adaptation of Dostoevsky's short story (A Gentle
Creature) exhibits in its lapidary sequences the political and
existential revolt of a young student in Paris. Sharing a theme that can
be traced from Bresson's Mouchette to his fantastic exploration of
revolutionary choices in The Devil Probably, Une Femme Douce articulates
in its inimitable minimalist mode a range of issues from the
ideological options of France post-May '68 to human relationships.
Dominique Sanda is not the conventional, recognizable student
revolutionary, but a "gentle" philosopher whose powers of sensitivity
and social scrutiny exceed and tease the prosaic, crude disposition of
her bourgeois husband.
*There are a few dialogs missing in the English subs
Un jeune époux devant le cadavre de sa femme qui vient de se suicider se
remémore leur vie passée, essaie de trouver les raisons de son geste.
"Je voudrais prier, dit-il, et je ne peux que penser." Quand il l'a
rencontrée, c'était une toute jeune fille très pauvre qui venait lui
vendre quelques menus objets dans sa boutique de prêt sur gages. Peu
après, il lui avait demandé sa main lui faisant miroiter tout ce que sa
riche situation pouvait lui apporter. Elle avait accepté, mais très vite
l'incompatibilité des deux caractères s'était révélée. Lui ne pensait
qu'à gagner de l'argent. Elle passait son temps à collectionner disques
et livres. Il l'emmenait au cinéma, au théâtre, mais une muraille de
silence les séparait un peu plus irrémédiablement chaque jour. Le drame
commença vraiment quand il devint jaloux. Il mena sa propre enquête, qui
le conduisit boulevard Lannes où il l'a surprise dans une voiture en
compagnie d'un jeune homme. Mais d'après les paroles qu'il put entendre,
sa femme était en train de repousser habilement les avances de son
compagnon. Le mari n'avait-il pas eu tort de soupçonner sa femme ? Il la
ramène chez lui. Alors qu'elle le croit endormi, elle prend son
revolver et le pointe vers son visage. Elle ne tire pas. Mais avait-elle
vraiment voulu le tuer. La question se pose au mari qui décide de faire
chambre à part. Une incertitude insupportable règne maintenant entre
les deux époux. La jeune femme entre dans une phase dépressive qu'elle
ne quittera plus. Au cours de sa maladie, le mari réfléchit et s'accuse
de n'avoir pas su comprendre sa femme. Il le lui dit, ajoute qu'il fera
tout pour son bonheur. Ils vont quitter Paris, voyager. C'est à ce
moment-là que la jeune femme commet l'irréparable, en mettant fin à ses
jours.
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